Il est un fait qui dure depuis des années, et même des décennies, c’est le manque ou, plus précisément, l’absence totale de vespasiennes dans la capitale et dans toutes les villes tunisiennes, d’ailleurs. Et même si vous vous adressez à un café, c’est un refus catégorique ou, dans le cas contraire, il vaudrait mieux s’en passer. Pas besoin de faire un dessin. Et si on faisait appel à un privé pour construire des sanitaires payants, avec un contrôle très strict pour l’entretien de ces lieux. Idée à creuser.
T.B.